Wassila Et Salim, Ou L’Histoire D’Un Cocufiage Voulu Et Accepté. Sixième Partie: Le Couple Mixte

Wassila et Salim, ou l’histoire d’un cocufiage voulu et accepté.
Sixième partie: Le couple mixte

Wassila, encore choquée par sa dernière aventure trouva rapidement un dérivatif en les personnes d’un couple mixte, algéro/ukrainien. Cette aventure, elle l’avait très fortement appréciée et me la raconta, avec des étoiles dans les yeux, tant elle l’avait menée aux sommets du plaisir charnel.
La voici donc, avec les mots mêmes de Wassila, la principale protagoniste de l’histoire.
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A l’université où je travaillais, venait de débarquer un nouveau professeur de langue anglaise. Il était algérien, mais avait fait ses études en France et y avait vécu longtemps. Physiquement, il était vraiment magnifique: grand, épaules larges, taille fine, petit fessier super mignon, cheveux châtains très clairs (presque blonds) et magnifiquement bronzé (de ce bronzage qu’on ne pouvait avoir que dans des institutions spécialisées). D’évidence, il prenait un soin méticuleux de son corps.
Il se présenta à moi, très tôt le matin pour visiter le laboratoire d’anglais qu’il devait utiliser pour ses cours, qui devaient commencer la semaine suivante. Il voulait se familiariser avec les équipements et s’assurer que tout fonctionnait parfaitement. Ses vérifications durèrent toute la matinée. A midi, il vint me rendre les clés du labo et discuta un peu avec moi, pour se renseigner sur les conditions de travail et aussi sur les endroits où il pouvait déjeuner à midi.
Je lui donnais deux ou trois adresses de restaurants pas trop chers, proches de l’université, en lui garantissant l’hygiène et la qualité des repas servis. Il ne connaissait pas encore assez bien Alger, qu’il venait à peine de découvrir, et me demanda si j’accepterais de l’accompagner. C’était lui qui invitait, disait-il. Je n’avais rien de spécial à faire et puis le mec m’intéressait. Il était vraiment à mon goût. C’était une magnifique occasion de mieux le connaître et de confirmer ou infirmer mon intérêt pour lui.


Nous allâmes dans un petit restaurant pas très loin, où j’avais mes habitudes. Nous commandâmes le plat du jour – ce jour là, c’était du couscous, que disait-il, il n’avait plus mangé depuis une dizaine d’années – et discutâmes de tout et de rien. Je l’amenais petit à petit à parler de lui. Je sus ainsi qu’il était né, il y a trente-cinq ans dans un petit village, pas très loin de Bejaia, en Kabylie. A dix-huit ans, juste après son baccalauréat, il était parti en France pour y suivre des études de langue et s’était installé un long moment à Paris, où il vécut de petits boulots, jusqu’à ce qu’il décroche tous ses diplômes universitaires qui faisaient de lui un professeur agrégé de littérature anglaise. Il avait travaillé un moment en France, dans des lycées, comme remplaçant, puis avait décidé de tenter l’aventure de l’enseignement universitaire en Algérie.
Il disait qu’il était marié et que sa femme était une ukrainienne qu’il avait connu à Paris, qui l’avait beaucoup aidé pendant ses études et qui l’avait suivi en Algérie. Elle ne travaillait pas encore, mais avait reçu une promesse de travail au niveau de l’ambassade de son pays. Pour le moment, elle restait pratiquement toute la journée sans sortir et attendait impatiemment son retour à la maison. J’étais un peu déçue d’apprendre qu’il était marié et lui demandait de me parler d’elle. Ses yeux brillaient quand il parlait de Natacha ! Sûr qu’il devait l’adorer !
- Elle est superbe ! Une vraie slave ! Grande et blonde ! Et tellement gentille ! Je lui dois énormément ! Sans elle, je n’aurais pas pu faire d’études supérieures aussi longues. Elle m’avait soutenu tout ce temps là ! Pour être honnête, je dirai même que, tout ce temps-là, j’avais vécu à ses crochets !
- Vous devez beaucoup l’aimer !
- Bien plus que cela ! Je l’adore et ne peux vivre sans elle !
Ma curiosité voulut porter la discussion sur le sujet du sexe. Je ne savais pas trop comment aborder la question, mais elle m’obsédait.
Parce qu’à la manière dont il me regardait (en fait il ne me regardait pas, il m’observait !) je me dis qu’il devait se poser plein de questions sur moi. Et pas que des questions innocentes ! Il jetait de temps en temps un regard indiscret sur ma poitrine, qui laissait apparaître la naissance de mes gros seins sous le chemisier, dont les premiers boutons étaient ouverts et je lisais dans ses yeux comme du désir. Il regardait aussi ma bouche qui semblait l’attirer comme un aimant. Je me disais que soit, il me mentait en parlant comme cela de sa femme, soit que le couple qu’ils formaient était assez spécial. Je me décidais à me jeter à l’eau en passant carrément à l’attaque.
- Tu es sûr que tu n’es pas entrain de me mener en bateau en me parlant comme cela de ta femme ? (J’employais volontairement le tutoiement, pour bannir le ton officiel qu’il y avait entre nous et pour tester sa réaction). Si je me réfère à la manière dont tu me regardes, tu n’as vraiment pas l’air du mari fidèle qui ne pense qu’à sa femme ! Tu ne sembles pas être du genre imperméable aux charmes des autres femmes !
- Qui a parlé de fidélité ? Moi je n’ai parlé que d’amour ! J’aime ma femme et elle aussi m’aime ! Cela ne veut pas dire que nous ne voyons pas ailleurs pour la gaudriole ! Le tout c’est que nous ne le faisons pas en cachette l’un de l’autre ! Quand elle rencontre un homme qui lui plait vraiment et dont elle pense qu’il lui apportera du plaisir et du bonheur, elle me le dit ; parfois même elle l’amène à la maison ! Et quand c’est moi qui rencontre une femme belle et sensuelle, comme toi, par exemple, je le lui dis ; et chaque fois que c’est possible, je la lui présente et lui fait l’amour devant elle – et avec elle ! Seulement, en Algérie, nous n’avons pas encore essayé. Les mœurs semblent tellement rigides, que nous n’avons pas encore osé nous aventurer sur ce chemin. Ça te tente ?
Je ne m’attendais pas à ce que la discussion prenne cette tournure ; du moins pas aussi vite.
Je commençais à sentir le parfum délicieux d’une belle aventure érotique. Je lui demandais comment il comptait s’y prendre. Je lui dis que j’étais moi-même mariée et que j’étais très amoureuse de mon mari. Il sembla très déçu.
- Je ne pensais pas que tu étais mariée. Ton comportement de femme libre me faisait penser qu’il n’y avait pas d’homme dans ta vie. J’ai eu l’occasion d’observer le comportement de quelques couples d’ici et je n’y ai pas vu de liberté de comportement. Tu ne trompe pas ton mari ?
- Pas comme tu le crois ! Mon mari est un peu comme toi ! Il est très libre d’esprit et me laisse libre de mes mouvements. Si d’aventure un homme me plait vraiment, je m’offre à lui et le dis à mon mari. Nous sommes lui et moi dans le même état d’esprit que toi et Natacha !
- Superbe ! Natacha sera heureuse de faire votre connaissance ! Vous voulez venir passer la nuit chez nous ? Aujourd’hui même ! J’appelle ma femme et je lui dis de nous préparer un bon repas !
- Pas aujourd’hui, mon mari est en déplacement ! Demain peut-être ! Je t’avertirais !
Il fut déçu et me le fit savoir en faisant faire à sa grande bouche, une grimace de clown. Je voyais que la discussion l’avait émoustillé et qu’il avait espéré me tirer cette nuit même. Le fait qu’il devait patienter jusqu’au lendemain ne semblait pas lui plaire outre mesure. Je voyais en marchant à ses côtés qu’il avait du mal à cacher la grosse bosse que faisait son sexe sur le devant de son pantalon. Je lui pris la main pour y déposer un léger baiser et en le regardant droit dans les yeux, je lui dis :
- Tu bandes tant que ça pour moi ? Tu as vraiment autant envie de moi ?
- Plus que tu ne crois ! Si j’ouvrais ma braguette, tu verrais combien je suis excité !
- Chiche ! dis-je en riant de bon cœur, en imaginant Mohand sortir son engin, là en pleine rue, pour me le montrer.
Bien entendu, il ne le fit pas. Mais en arrivant, devant mon bureau, l’idée de me faire tirer par lui, ici même, s’imposa à mon esprit et devint une obsession.
Je pris les clés du laboratoire d’anglais qui était vide, le pris par la main et l’entraînai à l’intérieur. Je refermais la porte derrière nous et sans attendre qu’il recouvre ses esprits, je me mis à défaire la ceinture de son pantalon, ouvrir sa braguette et sortir son membre tendu comme une perche. Il était vraiment bien membré ! Un zob long, brillant, sans un poil, pas très gros, mais avec un gland immensément large ! Je le pris dans une main pour tester sa dureté : c’était une pierre ! Mais d’une douceur infinie !
Au contact de ma main, le zob de Mohand se mit à frémir. Il palpitait très fort. Il prit ma main pour la forcer à caresser le manche avec plus de vigueur. Ce que je fis volontiers en regardant le gland apparaître et disparaitre au fur et à mesure que ma main montait et descendait le long du manche. Je regardais le visage de mon partenaire : il avait fermé les yeux et soupirait doucement ; il avait ouvert légèrement la bouche et tendait involontairement les lèvres. Je ne résistai pas à l’envie de l’embrasser sur la bouche. En sentant mon souffle sur son visage, il ouvrit les yeux et accueillit mes lèvres avec plaisir. Il me rendit mon baiser en faisant promener sa langue à l’intérieur de ma bouche. Il embrassait comme un Dieu ! Sa bouche gourmande et ses lèvres ventouses me transportèrent de plaisir. Il avait une langue aussi agile qu’une anguille ; elle entrait et sortait de ma bouche à grande vitesse, en ramassant toute la salive qu’elle rencontrait.
Je sentais ma culotte se remplir de mouille. Je voulais le superbe zob de Mohand dans ma chatte. Immédiatement ! Je ne pouvais plus attendre ! Je voulais qu’il me prenne comme cela, debout contre la porte du labo.
- Baise-moi, comme cela debout ! Je veux sentir la force de ton zob ! Je veux qu’il me pénètre tout de suite ! Je veux jouir ! Jouir !
Lui aussi voulait jouir, sans plus attendre. Il voulait me prendre en force, sans même me déshabiller ! Sans même m’enlever la culotte ! Il souleva le bas de ma jupe pour la remonter sur mon ventre, attrapa ma jambe droite sous le genou et la remonta très haut, pour mettre mon entrecuisse au niveau de son sexe. Et de sa main gauche, il écarta ma culotte pour permettre à son gourdin de prendre possession de ma chatte. Je le sentis qui plia un peu ses genoux pour se mettre sous moi et d’un coup violent, il me pénétra jusqu’au fond de mon vagin. Je voulais sentir la force de son zob et j’étais servie : le large gland limait mon vagin avec fureur. Je le sentais tellement, que je me laissai aller à gémir. Il m’empêcha de crier trop fort, en me bâillonnant avec ses lèvres. J’étais accrochée à sa nuque et recevais avec délectation, ses coups de boutoirs de plus en plus forts et profonds. C’était si bon ! Il me faisait mal ; mais que cette douleur m’était douce !
Je coulais comme une fontaine et j’entendais les clapotis que faisait son magnifique sexe dans mon vagin, totalement noyé de mouille. Il haletait à chaque coup et était au bord de la jouissance. Je ne voulais pas qu’il jouisse tout de suite ! Je voulais qu’il m’emmène encore plus haut, dans les cimes du plaisir. Je voulais monter au septième ciel !
- Retiens-toi encore un peu ! Je veux jouir en même temps que toi ! Ne me laisse pas en cours de route !
- Non je ne te laisserai pas ! Tu vas avoir le plus fort orgasme de ta vie ! Tu aimes que je te baise comme cela, debout et en force ! Tu adores te faire tirer par un homme puissant comme moi ! Et viril ! Et fort ! Avec un grand zob ! Dis-moi que tu aimes les gros zobs ! Dis-le !
Les mots et les phrases qu’il prononçait, en me tirant avec de plus en plus de force, eurent sur moi l’effet d’un puissant aphrodisiaque. Mon excitation et mon plaisir grandissaient avec les mots qui sortaient de sa bouche. Sa façon de prononcer le mot « zob » en appuyant très fort sur le son « z » accentuait mon excitation. J’avais moi aussi envie de dire le mot, en appuyant aussi sur le son « z » !
- Zzzzob ! Zzzzzob ! Zzzzob ! J’aime les gros zzzzzobs !
Je sentais l’orgasme arriver avec la force d’un torrent en furie. Je m’agrippais encore plus fort à la nuque de mon amant, posais ma tête au creux de son épaule et me mis à baver comme une fontaine. Je haletais et ma respiration devenait de plus en plus difficile et de plus en plus courte. Je me mis à décharger en poussant un long cri, que j’essayais d’ contre l’épaule de Mohand. Toute la cyprine que j’avais produite sortit et alla se répandre sur le sexe et les couilles de mon partenaire, avant de dégouliner sur le sol du laboratoire. J’entendais ses gémissements devenir de plus en plus rauques et se transformer en un long soupir, au moment où il éjacula une première giclée de sperme brulant. Je le sentis qui ressortit immédiatement pour finir lui aussi sur le sol. Il sortit son zob de ma chatte et se mit à le branler.
Je compris qu’il voulait me faire boire son sperme et me mis immédiatement à genoux devant lui, la bouche ouverte, attendant les autres giclées. Elles arrivèrent sur ma langue, l’une derrière l’autre, avec force. J’attendis qu’il terminât d’éjaculer et ouvrit encore plus grande ma bouche pour lui montrer tout le foutre que j’avais emmagasiné, et avalai le tout dans un claquement de langue, suivi d’un soupir de plaisir. Je le regardai droit dans les yeux, lui fis un sourire provocateur et me remis debout :
- Qu’est-ce que tu penses de Wassila ? C’est bien la maîtresse que tu cherchais, n’est-ce pas
- Absolument ! Natacha sera heureuse de te connaître ! Surtout si ton mari est bien le beau mec dont tu m’as parlé ! Vous viendrez demain, n’est-ce pas ? Tu as aimé baiser avec moi ! Ce n’est qu’un début ! Demain je te montrerai bien d’autres choses !
- Dis-moi quoi ! Pour que j’y pense toute la journée ! Pour que je m’excite en y pensant !
- Tout ce que tu voudras pour ton plaisir ! Pour le mien, ce sera surtout ton cul ! J’aime baiser les femmes par leur trou du cul ! Dis-moi que toi aussi tu aimes la sodomisation ! Nous allons nous régaler ! Si ton mari est d’accord nous te baiserons tous les deux en même temps, nous te remplirons tes deux trous !
- La double pénétration ! J’adore !
Rentrant à la maison, j’étais aux anges. Je venais de trouver l’homme qui allait me combler de plaisir. J’appelais Salim qui était parti en mission pour deux jours et qui ne devait rentrer que très tard la nuit. Je lui appris la nouvelle. Il en était content. Il m’avait avoué qu’il était lui aussi en manque et que c’est avec bonheur qu’il viendrait avec moi chez le couple mixte. Nous nous rendîmes le lendemain soir – vers dix huit-heures – dans leur appartement de Draria, à une vingtaine de kilomètres au sud-ouest d’Alger. Nous avons ramené avec nous deux bonnes bouteilles de vin et un superbe bouquet de fleurs pour Natacha. Ce fut elle qui nous ouvrit.
Quand Mohand me décrivait la beauté de sa femme, je pensais que l’amour qu’il lui portait le faisait exagérer. Et bien non ! Il était très en deçà de la réalité ! En la voyant, je pensais immédiatement à la superbe tenniswomen russe Anna Kournikova, qui faisait parler d’elle plus pour sa beauté que pour son jeu : la même blondeur, les mêmes yeux bleus, la même grande taille, les mêmes épaules larges, les mêmes rondeurs, le même minois coquin, et tout le reste. J’en étais presque jalouse. Je me sentais laide à côté d’elle. Et en plus, elle était en petite tenue d’intérieur super coquine, qui ne cachait rien de son anatomie. Salim aussi en était resté bouche bée : il ne s’attendait pas à rencontrer une telle merveille !
- Bonsoir ! Fit-elle avec son délicieux accent slave. Mohand m’a beaucoup parlé de toi ! Il n’avait pas tort, tu es vraiment magnifique ! Comment me trouves-tu ? (elle ne s’adressait qu’à moi pour l’instant, comme si elle voulait me jauger)
- Belle comme le jour ! Je suis jalouse !
Elle m’embrassa sur la joue avant de s’approcher de Salim et de le dévisager sans vergogne. Elle l’attrapa par une épaule et le fit tourner sur lui-même : c’était comme si elle voulait apprécier une marchandise qu’elle voulait acheter. Du moins c’était comme cela que, sur le moment, je ressentais les choses. En fait dès le début, Salim lui plut : elle voulait seulement confirmer qu’il était à son avantage sous tous les angles. Elle semblait satisfaite par ce qu’elle voyait.
- Entrez ! Mohand est entrain de terminer de préparer la table ! Tu veux le rejoindre ? me dit-elle.
En fait ce n’était pas une question ; c’était une invitation à aller batifoler avec lui dans la cuisine, pendant qu’elle, elle allait s’occuper de mon Salim. J’avais un petit pincement de jalousie au cœur, mais n’insistais pas trop ; J’étais heureuse de retrouver Mohand. Je me rappelais tout le plaisir qu’il m’avait donné la veille et je courus presque le rejoindre dans la cuisine. Je le trouvais vêtu d’une robe de chambre au ton marron clair, qui lui arrivait au dessus des genoux et qui n’était tenue que par un cordon fait du même tissu. Il me regardait arriver vers lui et ouvrit très grands ses bras pour me serrer contre lui.
- Bonsoir ma grande ! Tu es magnifique ! Tu as fais la connaissance de Natacha ? Elle est superbe n’est-ce pas ? Je suppose qu’elle s’occupe déjà de ton mari ! Avec elle, il n’y a pas de temps mort ! Tu verras dans quelques minutes à peine tu l’entendras crier son plaisir. Elle est du genre bruyant quand elle prend du plaisir ! Embrasse-moi !
En fait, je n’eus rien à faire : il avait déjà pris mon visage entre ses mains pour me rouler une de ces merveilleuses pelles dont il avait le secret. Ses baisers, je les avais déjà testés la veille, étaient des actes sexuels à eux seuls. Ma chatte qui coulait et ma culotte complètement mouillée en était la preuve. Ses lèvres étaient des ventouses et sa langue une véritable anguille indiscrète, qui allait partout dans ma bouche. Elle cherchait ma langue pour lui monter dessus, l’enrouler et lui monter que c’était elle la maitresse des lieux. Il y avait de l’électricité dans cette langue: elle envoyait de légères décharges qui accroissaient l’intensité de mon excitation. J’arrêtai le baiser pour le supplier :
- Baise-moi, là tout de suite ! Je n’en peux plus !
Je ne le laissais pas réfléchir. Je défis le cordon qui fermait la robe de chambre et en écartai les pans : il bandait et son magnifique engin, long et fin, avec son gland en forme de grosse tête de champignon, dardait vers le plafond. Je le voyais qui frémissait de désir. Je le pris dans ma main droite pour le caresser. Il poussa un petit gémissement de plaisir et me prit la main pour me pousser à le branler avec plus de vigueur.
- Pas de branlette tout de suite ! J’ai trop envie ! Hier tu m’as promis une belle sodomisation ! Il faut toujours tenir ses promesses !
Il ne répondit rien. Il se contenta de me retourner, pour que je sois face à la grande table de la cuisine, et de presser sur ma nuque pour que je pose ma tête sur la nappe. Je compris qu’il voulait me tirer comme cela, debout mais pliée contre la table Je m’accrochais contre le rebord et attendis avec impatience la suite. Celle-ci vint presque brutalement : je sentis ses mains remonter ma robe sur mon dos, en me caressant au passage les fesses; ces mêmes mains arrachèrent ma culotte et mirent à nu mon cul. Il resta une seconde à admirer le spectacle, puis me donna une forte claque à deux mains : une sur chaque fesse.
- Aie ! Pourquoi tu me frappes comme cela ? Je n’aime pas ça !
- C’est le spectacle de ton beau cul qui m’a fait faire ça ! Ne crains rien je ne suis pas un adepte du sadomasochisme ! Mais j’aime faire mal à ma partenaire en la baisant ! Et je vais te faire mal en t’enculant ! Je vais te tirer sans mouiller l’endroit ! Ton cul est bien ouvert, mais tu vas quand même sentir la force de mon gland ! Toutes les femmes que j’ai baisées ont apprécié que je leur démolisse le cul avec mon gland ! Toi aussi tu vas aimer !
Et sans attendre, il m’écarta les fesses, pour mettre en évidence mon trou du cul, et posa son gland dessus. Et il l’enfonça brutalement, à sec. Je ressentis une énorme douleur. Je ne me rappelle pas avoir eu aussi mal la première fois que j’avais été dépucelée de ce côté. J’ai crié très fort en hurlant qu’il me faisait mal, mais il n’en tint aucun compte. Il revint vers l’entrée en raclant mon boyau toujours sec, et reparti une fois encore, en force, vers le fond. Je criai encore de douleur. Et il recommença comme cela plusieurs fois, jusqu’à ce que mon cul se lubrifie de lui-même. La douleur sen alla et il ne resta plus que le plaisir de me faire tirer comme par ce bel engin, si long et si dur, qui continuait à racler les parois de mon boyau. Je l’entendais qui ahanait et gémissait en même temps. Je tournai de temps en temps la tête, pour le regarde me tirer avec fureur. Je ne voyais que son visage qui grimaçait de plaisir, les mâchoires serrées par l’effort qu’il faisait à chaque pénétration.
Et moi, j’étais aux anges ! J’aimais cette sensation de force que dégageait ce zob qui forçait mon cul et qui me faisait monter au ciel. Je voulus accroître cette sensation en me masturbant en même temps que je me faisais enculer. Je retirai la main droite qui était accrochée au bord de la table et l’envoyai entre mes cuisses pour branler ma chatte. J’y arrivais difficilement, tant ma position était instable, mais je finis par faire pénétrer trois doigts dans mon vagin et entrepris de me masturber avec fureur. C’était divin ! D’un côté le zob de mon amant, dur comme de l’acier, qui pilonnait mon cul de plus en plus fort et de plus en plus vite, et de l’autre mes doigts qui allaient et venaient dans mon vagin, croisant son engin à lui au passage.
Tous les deux nous nous mîmes à gémir de plus en plus fort. Le plaisir que j’éprouvais grâce à cette double pénétration, Mohand le ressentait de la même manière.
- C’est bon ! Tu es entrain de me masturber en même temps que je t’encule ! C’est sublime ! Je ne vais pas tarder à avoir un orgasme très fort !
- Non pas encore ! Retiens-toi encore un peu ! Je veux un orgasme encore plus grand ! Continue ! Nous allons jouir ensemble ! Continue ! Continue ! Plus vite ! Plus fort !
Ce fut moi qui déchargeai la première. J’avais l’impression de mourir, tant la sensation de plaisir était forte! J’avais ouvert la bouche très grande, comme une noyée qui avait besoin d’air ! Mon cœur battait très fort et très vite ! Ma bouche dégoulinait de bave ! Et je hurlais ! Je hurlais que c’était bon ! Que j’aimais les gros zobs dans mon cul ! Que j’aimais les hommes comme lui ! Que je voulais que le plaisir durât toute la nuit. Mohand déchargea aussi, de manière moins bruyante que moi, mais tout aussi fortement. Je sentais mon cul qui se remplissait de foutre brulant et épais et qui ressortait à l’extérieur à chaque aller-retour du manche dans mon cul. Il déversa comme cela, presque de manière continue, une quantité incroyable de sperme. Quand il se retira, il resta un long moment à regarder le foutre qui s’échappait de mon anus pour aller s’étaler sur le parterre de la cuisine.
- C’est super beau ! fit-il en me relevant et en m’embrassant avec tendresse. Tu es une femme vraiment magnifique ! Exactement comme je les aime : belle, sensuelle et…dure à la douleur ! Tu as compris que j’aime baiser en force ! Ce n’est que comme cela que je prends le maximum de plaisir ! Et toi aussi tu aimes les hommes qui ont de grands sexes et qui aiment montrer leur force !
- Oui ! Mais je n’aime pas les brutes ! Je prends du plaisir à me faire tirer en force, mais j’aime que l’homme soit en même temps plein de douceur et de tendresse ! C’est ce mélange que j’ai trouvé chez toi et qui existe aussi chez Salim ! Lui aussi aime me faire mal quand il me tire, mais avant et après, c’est une montagne de tendresse et de gentillesse. Tu penses qu’on peut aller les voir à côté. Il ne me semble pas les avoir beaucoup entendues.
- Parce que toi aussi tu cries fort ! Tends l’oreille et écoute ! Tu entends les gémissements rauques qui viennent du salon ?
Et c’était vrai qu’en tendant l’oreille j’entendais deux voix qui se renvoyaient des gémissements. Je reconnaissais ceux de Salim – rauques, qui provenaient du fond de ses entrailles – mais je ne connaissais pas encore les petits cris de plaisir de Natacha, qui s’accompagnaient de temps en temps de sifflements aigus. Salim ne parlait pas, mais sa partenaire lâchait des flots de paroles dans une langue inconnue (de l’Ukrainien, probablement) qui indiquaient tout le plaisir qu’elle prenait à se faire tirer par mon Salim. J’étais curieuse de voir ce qu’ils étaient entrain de faire. Je voulais voir mon mari prendre du plaisir avec une autre femme. Mais d’un autre côté j’avais peur qu’il en prenne trop avec cette femme trop belle et qu’un jour il m’abandonne pour elle. Je pense sincèrement que cette peur qui est en permanence au fond de moi, ne me quittera jamais ! C’est peut-être comme cela que s’exprime mon immense amour pour lui. Mais cela, jamais je ne le lui avouerais. J’aurais trop peur qu’il soit déçu par ces sentiments trop convenus et petits bourgeois.
Mohand me prit par la main et m’entraîna dans le salon. Nous y vîmes le spectacle de Salim qui était entrain d’enculer Natacha, exactement comme son mari l’avait fait avec moi. A la différence près, qu’elle était allongée sur le dos en travers du sofa, les cuisses relevées très haut. Elle se masturbait en même temps qu’il l’enculait. Je regardais le visage de la femme; elle était au septième ciel; elle n’avait même pas remarqué notre présence. Elle était toute nue et il y avait sur son visage et sur son cou des traces brillantes de sperme. Salim comme à son habitude avait dû se faire faire une superbe fellation et avait rempli le corps de sa partenaire de foutre. Il ne s’était mis à l’enculer qu’à la suite de la pipe qu’elle lui avait taillée.
Cela expliquait d’ailleurs pourquoi, ils étaient encore entrain de baiser, alors que Mohand et moi avions fini. Ils en étaient au deuxième coup. J’en étais jalouse et le dit à mon nouvel ami.
- Nous avons toute la nuit devant nous ! Je voudrais avant cela que tu t’occupes de Natacha ! Je veux que tu lui enlèves avec ta bouche le sperme qu’elle a sur son corps! Elle est sur le point de jouir ! Occupe-toi d’elle juste après !
Et effectivement elle déchargea avec force et poussant de grands cris de plaisir, accompagnés d’un flot de paroles en ukrainien. Elle balançait sa tête comme une folle et bavait comme une fontaine. Sa main libre était accrochée à la taille de Salim, les ongles enfoncés dans la chair. Salim aussi était entrain de jouir dans le cul de sa maîtresse. Mais lui jouissait plus discrètement : il gémissait doucement, en allant et venant de plus en plus fort et de plus en plus vite dans le cul de Natacha, qui accélérait le mouvement de ses doigts dans sa chatte. Ils ne s’arrêtèrent que quand l’une était fourbue de fatigue, et l’autre n’avait plus aucune goutte de sperme à offrir.
Salim se retira du cul de sa belle, le sexe un peu ramolli et coloré en marron. Il me regarda et je compris qu’il voulait que je m’occupe de nettoyer son manche. Je me mis à genoux devant lui et entrepris de lécher et sucer le membre jusqu’à ce qu’il retrouve sa propreté initiale et se remette à bander. Mohand me tira par les cheveux pour que je me lève et fasse ce qu’il m’avait demandé de faire : m’occuper de Natacha. Elle était complètement affaissée sur le sofa et reprenait tout doucement une respiration normale. Elle avait les yeux fermés et un merveilleux sourire de béatitude sur les lèvres. Je m’approchai d’elle pour admirer sa beauté nue, impudique et offerte. Je m’agenouillai au pied du sofa et me mit à lui lécher le foutre encore humide qu’elle avait sur le cou. Elle ouvrit les yeux, me regarda avec ses immenses yeux bleus, me prit la tête pour la replonger au creux de son cou. Elle voulait que je continue à la lécher comme cela et à récolter tout le sperme de mon mari qu’elle avait encore sur le corps.
Je le fis avec délectation et de temps en temps, je lui en donnais un peu à avaler en l’embrassant sur la bouche. Cela dura longtemps; jusqu’à ce qu’il n’y eut plus aucune trace de foutre sur le corps de Natacha. Elle releva la tête, me sourit et me dit avec son accent qui roulait les « r » :
- Lèche-moi les seins ! Les femmes savent mieux embrasser et lécher les seins que les hommes qui ne sont que des brutes.
Je n’avais encore jamais fait cela. Mais je m’exécutais avec plaisir. Elle était tellement belle et avait une magnifique poitrine, grande, arrogante et aussi douce et dure que du marbre. Je la léchais et l’embrassais avec délectation ; je ne savais pas que je pouvais éprouver autant de plaisir à lécher et téter une femme. Mais c’était bien cela qui arrivait. Non seulement je trouvais cela très agréable, mais en plus je sentais monter en moi du désir : le désir d’aller à la recherche de la chatte de Natacha. Je descendis le long de son ventre, pour aller à la rencontre de son mont de vénus, superbement bombé, brillant et parfaitement épilé. J’y posais mes lèvres et me mis à l’embrasser. Les hanches de Natacha se mirent à bouger et à se soulever.
Elle posa sa main sur ma tête et l’obligea à descendre plus bas ; à aller s’occuper de sa chatte. Je n’avais pas encore vue la chatte de Natacha : ce que je découvris dépassait tout ce que j’avais vu jusque là. Même ma chatte, que je savais très belle – bien dessinée, longue, ourlée et brillante – me paraissait terne à côté de celle que j’avais devant les yeux : une merveille ! Un paradis ! Deux grandes lèvres de couleur mate, longues, bombées, luisantes et se terminant en un triangle légèrement ouvert. En les écartant pour y introduire ma langue, je découvris un petit clitoris, rouge et dur, entre des petites lèvres cramoisies, mouillées et palpitantes.
Je plongeai ma langue pour essayer d’aller au fond de cette superbe chatte et lécher tout ce que j’y trouvais comme jus salé et légèrement acide. J’avalais tout ce que je ramassais avec délectation. Natacha aimait visiblement ce que je lui faisais: elle serrait ma tête en ses cuisses et relevait très haut ses hanches pour donner plus de contact à ma bouche. Un moment elle desserra l’étau et descendit du sofa pour venir s’allonger sur le tapis, à mes côtés. Elle me fit signe de me retourner de manière à ce qu’elle et moi soyons en position tête-bêche. Elle voulait me rendre ce que je lui faisais : Je trouvais l’idée super plaisante et lu offrit ma chatte pendant que je continuais à m’occuper de la sienne.
Nous nous bécotâmes comme cela pendant longtemps : j’étais dessus et elle dessous. Nous aspirâmes tout le jus qu’elle et moi produisions en grande quantité. J’étais dans un état second : à la porte du paradis ! Je gigotais sur la bouche gourmande de Natacha et elle faisait de même sur la mienne. Je sentais que j’allais avoir une belle jouissance. Et Natacha aussi. Ce fut au moment où je sentais l’orgasme arriver, que deux mains puissantes soulevèrent mes hanches pour les éloigner de la bouche de mon amie. J’eus une réaction de déception, très vite remplacée par un sentiment de plaisir. L’homme qui m’avait soulevé les hanches s’était mis à genoux derrière moi et enfonça son sexe avec force dans ma chatte.
Je ressentis immédiatement une montagne de plaisir, différent de celui que me donnait la bouche de Natacha, mais tout aussi intense. Je me retournai pour voir ce qui se passait: c’était Mohand qui entreprenait ainsi ma chatte. Natacha était restée sous moi, la tête entre mes cuisses regardant le manche de son mari entrer et sortir de mon vagin. Elle criait des mots dont je ne comprenais pas la signification, auquel son mari répondait par des « Da ! » sonores. Je compris qu’elle lui demandait quelque chose dans sa langue et que Mohand lui disait qu’il était d’accord. Il continuait à pilonner ma chatte avec de plus en plus de force. Il poussait des petits gémissements, pendant que moi je criais fort, tant le plaisir que je prenais aux coups de boutoirs étaient intense. Je partis dans un râle de jouissance très sonore et déchargea en hurlant mon plaisir. J’entendis Mohand qui poussait un long râle en accélérant le rythme de ses va-et-vient et éjaculer une première rasade de foutre dans mon vagin. Il se retira très vite, souleva encore plus haut mes hanches et fit pénétrer son manche, encore palpitant, dans la bouche ouverte de Natacha qui attendait sa part. Je compris que c’était ce qu’elle lui demandait, tout à l’heure dans sa langue.
Nous avions oublié jusqu’à la présence de Salim, qui pendant tout ce temps là était resté silencieux et regardait la scène qui se déroulait sous ses yeux. Il s’était remis à bander très fort. Je sentis Mohand qui était encore sur mon dos s’en retirer brutalement. Je me retournais et vit Salim, le zob brandi comme un sabre, mettre mon amant en position de levrette pour le tirer. J’étais étonné de le voir faire cela. Je le connaissais qui aimait tirer mes amants, mais c’était ave ceux qu’il savait aimer cela. Mohand ne me paraissait pas être de ce genre. Je regardais Natacha pour voir sa réaction. Elle regardait la scène avec des yeux qui brillaient de lubricité. D’évidence, elle aimait ce qui était entrain de se passer sous ses yeux. Elle se rapprocha en rampant de son mari, lui prit la tête entre les mains et lui roula une superbe pelle. Une manière de lui ordonner de se laisser faire, parce qu’elle, elle voulait vraiment voir ce qui allait se passer. En même temps, en lui tenant fortement la tête, elle l’empêchait de se dégager du piège dans lequel il était.
Salim maintint Mohand par les hanches de manière à ce qu’il ne bouge pas, cracha dans sa main et mouilla l’anneau serré du cul de son partenaire. Il refit l’opération encore une fois, enduisit le gland de son sexe de salive et alla défoncer en force l’anus de Mohand. Il poussa un long cri de douleur, essaya de se dégager, mais ne réussit pas. Salim continuait à pilonner le cul avec force pendant un temps, jusqu’à ce qu’il sentit son vis-à-vis se mettre à gémir doucement. Il lança alors sa main droite à la recherche du membre de Mohand et le trouva tout raide.
- Tu bandes mon salaud ! Tu aimes n’est-ce pas ? On va corser la sauce ! Natacha, branle ton mari pendant que je l’encule, il éprouvera un double plaisir ! Il aura une double jouissance !
Natacha s’exécuta et se mit à branler Mohand avec vigueur, en utilisant sa propre mouille pour lubrifier le membre qu’elle masturbait. Son homme se mit à gémir de plus en plus fort, sans savoir exactement ce qui lui donnait autant de plaisir : la sodomisation de Salim ou la branlette de Natacha ! Certainement, les deux à la fois ! Il éjacula dans la main de sa femme, tout en lançant ses hanches avec fureur en arrière, pour aider Salim à le tirer encore plus fort. Mon mari ne mit pas longtemps à éjaculer et à se laisser tomber sur le dos de son ami.
Natacha se mit alors à lécher ses doigts remplis du sperme de son mari puis me tendit sa main pour que j’en fasse de même. Elle alla ensuite embrasser tendrement Salim à qui elle demanda de l’accompagner dans la salle de bain. Mohand resta un moment allongé sur le tapis, avant de relever la tête pour me regarder et essayer de lire dans mes yeux ce que je pensais de sa sodomisation par mon mari.
- Je l’ai vu souvent faire ainsi. Il n’a jamais résisté à un joli cul d’homme qui se présente à lui. Je pense que tu as aimé !
- C’est très bizarre, ce que j’ai ressenti : beaucoup de douleur et de gêne au départ et puis, petit à petit, j’ai aimé la force du gros sexe qui me pénétrait et prenait possession de mon cul ! Même maintenant je ne sais pas encore si j’ai vraiment aimé et si je suis capable de recommencer. Par contre en ce moment même, je ressens comme un vide dans mon cul ! Comme s’il s’était habitué à la présence du gros engin de ton mari.
Nous prîmes tous un bon bain avant d’aller manger et nous reposer. Nous passâmes la nuit ensemble sur l’immense lit du couple : les femmes au milieu les hommes sur les côtés. Toute la nuit, Mohand qui était à mon côté, n’avait pas arrêté de me caresser et de m’exciter, sans pour autant rien entreprendre de plus. Il était fatigué et moi aussi. Nous avions eu notre compte pour la journée et pensions qu’il nous fallait du repos pour être d’attaque le lendemain, pour une autre journée d’orgie !
Salim et Natacha par contre ne l’entendait pas de cette oreille : ils passèrent la nuit à s’exciter mutuellement et à faire l’amour en douceur. Toute la nuit, j’ai entendue les petits gémissements rauques de Natacha qui accueillait le zob de mon mari, une fois dans son vagin, l’autre fois dans son cul. Ils passèrent la nuit ainsi à baiser et à rire doucement comme des fous.
Quand nous partîmes, mon mari et moi, le surlendemain matin, nous étions totalement lessivés. Salim était sur les rotules et moi je ne valais pas mieux : j’avais subis les assauts des deux hommes et de Natacha presque en continu pendant quarante-huit heures. C’était crevant ! Nous étions morts de fatigue, mais …tellement heureux ! Nous nous sommes promis de nous revoir souvent, parfois chez eux, parfois chez nous et continuer notre relation le plus longtemps possible. Elle dure aujourd’hui encore. Nous l’avons même corsé en y incluant des amants et/ou des maîtresses de passage !
Natacha avait même fini par nous raconter l’histoire de sa vie. Une histoire bizarre, qui l’avait menée d’Odessa, un port du Sud de l’Ukraine, son pays natal, jusqu’à Alger, en passant par Hambourg en Allemagne et Paris en France. Mais ceci est une autre histoire, dans laquelle mon mari et moi n’avons aucune place. Je vous la raconterais peut-être un jour.











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